Premier jour au Lycée [Libre :P]

L'humidité, quelque chose dont n'était pas tellement folle la jeune fille mais dont elle se devait se satisfaire puisque c'était une chose dont elle avait l'extrême habitude d'être dans des moments dont elle n'aurait pas surement pas eut ce genre d'ennuis si...Elle n'avait pas détruit une rue entière grâce à sa nouvelle invention mais aussi exécuté un acte malsain envers la Marine. Vous vous demandez surement où elle se trouve exactement, eh bien plus précisément en prison. Mais pour comprendre exactement la cause qui l'emmena dans cet endroit où tous les malfrats reposent la plupart du temps, il faut remonter à quelques heures en arrières.

~~Flash Back: Dans la matinée~~

Comme dans la plupart du temps, Rozaline était dans son atelier secret à travailler pour que son ingéniosité ne se rouille pas au travers des ennuyeux jours qui passent à attendre que l'heure du départ ne se fasse voir. Les sifflements, les confrontations entre les métaux des outils firent un boucan que les voisins ne supportaient pas mais apprenaient à vivre avec tout de même. Blacky, le chat noir adopté de la Vizard, observait la scène avec curiosité tout en prenant quelques fois des gorgées de lait reposant dans sa gamelle bien qu'il soit tout de même impatient de revoir le visage de sa maitresse reposant sous la machine puisqu'elle était en séance de travail. Lorsque les derniers coups furent donnés, la jeune fille sortit de sous son nouveau "bébé", ses cheveux reposant sous un tissu blanc devenus noir avec l'huile, ses joues un peu tâchées et sourit tout en présentant sa nouvelle œuvre destructrice:

"Vois Blacky! Voici le barbecue Dragon Force! Capable de nous cuisiner de bonnes grillades sans qu'on ait à faire quelque chose!"

Une énorme machine de trois mètres de haut, deux mètres de largeur et qui possède un visage effrayant, cela ne donnait pas l'envie de lui confier les prochains repas mais après tout la Vizard y accordait une incroyable confiance. Sautant dans tous les sens afin d'exprimer sa joie d'avoir terminée cette nouvelle invention, Rozaline courut jusque dans sa réserve pour récupérer ses 2000 saucisses qu'elle avait acheté pour l'occasion. Les enfilant finalement dans la réserve du nouvel instrument de destruction, la jeune fille l'alluma puis attendit le résultat devant la bouche avant que celle-ci ne lui crache des flammes en pleine figure tel un lance flamme puis partit dans la rue en détruisant le magasin par la même occasion. Essayant de reprendre son état normal après avoir eteinds le brasier sur son crane, Rozaline observa l'etat de son magasin complètement détruit puis entendit des cris dans la rue de jeunes filles:

"Uguuu...Les réparations vont couter cher et je sens que des excuses suffiront pas pour la suite."

En effet, elle empoigna sa valise contenant ses armes puis se rendit dans la rue où elle aperçut son "enfant" tirer comme un fusil les saucisses qu'elle lui avait donné. Certes, vous vous direz que des saucisses ne sont pas tellement dangereuses mais attendez de sentir ça lancer à 300 km/h et vous comprendrez votre douleur. Beaucoup furent touchés pendant que la marine ramenait ses plus puissants combattants pour mettre à terme la folie de cette étrange chose...Finalement; ce fut vite calmé bien que Rozaline pleura sur le cadavre de celui qu'elle mit deux semaines à mettre au monde et fit même une prière pour que son âme aille en paix au paradis des machines. Mais comment dire...30 blessés chez la Gendarmerie, 21 civils touchés et une rue détruite attisa étrangement la colère des habitants qui s'approchèrent d'elle avec les yeux flamboyants. Ricanant en essayant de trouver une excuse valable, la jeune professeur cria de toutes ses forces avant de sentir qu'on l'emmena de force jusqu'à une cellule pendant que nombres des victimes crièrent de joie à l"idée d'être tranquilles pendant qu'elle serait en prison.

~~Fin du flash back: De retour à maintenant~~

Etant quatre sans la cellule, Rozaline était en compagnie d'un voleur homosexuel, d'un travesti qui donnait des conseils de maquillage à l'Ancienne Capitaine de la Dixième Division pendant que le dernier était un homme déguise en écureuil pour faire la publicité de sa banque. Ils n'étaient pas méchants mais elle commençait à avoir froids dans cette cellule bien que l'écureuil la réchauffait avec son pelage et s'occupait l'esprit en racontant ses fantasmes sexuels à ses colocataires dans l'attente d'être libérée.

Quelques jours passèrent avant de se rendre compte qu'un des policiers la sortit de la cellule en annonçant qu'elle pouvait rentrer chez elle si elle se calmait un peu. Faisant un énorme sourire en acceptant les conditions de l'homme puis saluant ses compagnons de cellule qui ont été super sympa avec elle, la jeune femme rentra chez elle afin de prendre une bonne douche ainsi qu'une préparation afin de se rendre à son prochain cours pour y faire ce pour quoi elle était payée: Rendre ces morveux sportifs! Enfilant une veste noire avec une chemise blanche dessous comme haut pendant que pour son bas c'était un jogging noir, la Vizard prit un petit toast à sa bouche puis courut afin de ne pas arriver en retard. Depuis bien longtemps, l'heure n'était pas son truc et en plus les policiers ne l'ont libérés qu'une heure avant que les cours ne commencent alors ce n'est vous dire la précipitation qui envahit son esprit déluré...

"Che chuis en retard!!!"

Parlant tout en mangeant sa brioche ainsi qu'en courant dans les rues de la ville de Karakura sous le regards des passants qui n'en revenaient pas d'une telle vitesse de la part de cette femme. Bien qu'elle n'employait pas le Shunpo, elle se déplaçait rapidement afin de ne pas être mal vus par son employeur. Finalement, elle aperçut le grillage puis fit de grands signes pour montrer qu'elle était là au gardien mais sans prendre garde, elle fut bousculée par une personne inconnue. Tombant à terre, Rozaline se gratta la tête tout en gémissant de douleurs, elle venait en plus de perdre son petit déjeuner par la même occasion alors la journée commençait très mal même si c'était le début de l'après-midi. Mais qui était cette personne qu'elle avait bousculé?

Se matin la après son combat contre deux shinigami d'on une personne bien connu. Il se léve avec plain de bandages autour de lui, ses muscles lui fond un mal de chien, a cosse de son shikai enfin de sa première forme, seule dans son manoir il marche dans ses himmenses couloirs, il se tienau mure pour avancer, il descend au sous sol ou la un bain de sang... il se trempa dedans pendant deux bonne heures, puis il prend une douche, il vas mieux après se bain pas commun pour e remaitre d'un dure combat. Il décide lui d'aller voir ses trèdeur pour voire sa cote en bourse. Tien elle augmente de deux points se qui le fit sourire, une bonne nouvelle tien, enfin une. Car a cause de son combat il n'a pas pu aller a un rendez vous d'affaire et d'on un contact en moins. Il prend sa limousine avec chauffeur s'il vous plais... il demande de l'emmener dans le centre ville pour prendre un petit déjeuner. Sur la route il repense a Kuchiki... le dernier qu'il a combattu mais il pense aussi qu'il a détruit sa famille et son clan. Il sera très fort le ver qu'il avait dans sa main heureusement vide, le bruit de se cassement le chauffeur se retourne et lui demande si tout vas bien il eux comme réponse un hochement de tête... il reparti sur le champ. Arriver dans se petit complexe il prit café croisant. Se il adore le croisant, surtout tout fais de beur... Il se lève puis vas payer il prend en même temps le journal. tout en marchand il lit les nouvelle d'une crise économique croissante... il marche donc puis heurte une personne muni d'une arme... Nakamura repli son journal se le mis en poche, il recule sous la demande de cette agresseur... il menasse de tué tout le monde, Nakamura regarde cette homme puits il lui dit.

Ne fais pas cette erreur de me menacer...

La personne en fasse la regarde avec un sourire comme diabolique, il le menasse encore puis il vin a lui tiré une bal de sommation, Nakamura ne recule pas, il se tien encore droit devant cette personne puis il passe la main de ses cheveux tout en fermant les yeux, quand il les rentrouvrit, il été rouge rubis comme affoler par la senteur du sang ses crocs on pousser il regarde droit dans les yeux notre homme, suis lui pris d'une peur paralysante ne bouge plus nakamura se rapproche de lui, pour lui prendre son arme... et sorti pour la remettre a la police dehors, la police rentre pour sécuriser le reste. Naka lui rentre dans sa voiture pour partir plus loin... puis il dit a son chauffeur de s'arrêter ici, Naka veux marcher, il marche, marche encore puis.... bom... une personne lui rentre dedans.

Oula pardons.

Lui dit il avec une petit sourire, comme quand même gêner puis il vit son petit déjeuner sur le sol, il la regarde et lui donne de l'argent et lui montre la limousine.

Vas dans cette limousine mon chauffeur t'emenera acheter un autre... il t'enmenera ou tu veux, je suis encore désoler.... a oui moi c'est Nakamura Shinji.

Décidement, la chance n'était pas avec elle ces temps-ci, déjà qu'elle s'était retrouvé en prison pour avoir accomplit quelques bêtises...La voilà qui percutait un parfait inconnu à en perdre son petit déjeuner. Regardant avec quelques larmes le pain reposant au sol, Rozaline se demandait pourquoi tout se rebellait contre elle mais retrouva vite le sourire tout en regardant la personne percutée précédemment. Un jeune homme assez charmant mais qui ne répondait pas aux goûts de la Vizard puisqu'elle n'aimait que les femmes mais il fallait dire qu'il n'était pas comme les autres au moins. Se grattant sa frange sombre tout en se demandant comment remplir son estomac, la jeune femme vit que l'inconnu lui tendit de l'argent puis remercie de ce geste tout en s'essuyant ses larmes avec. Evidemment, elle n'était pas plus intelligente de comprendre que ce n'était pas des mouchoirs qu'il lui avait donné mais bien un billet afin d'avoir un nouveau petit déjeuner...Jetant son regards sur le jeune homme tout en souriant et se mit au garde à vous, elle essaya de faire bonne impression avec

"Merci pour le mouchoir! C'est gentil!"

Observant la limousine que lui montrait le jeune homme, celui-ci proposa que le chauffeur l'emmene jusqu'à une boulangerie afin de pouvoir reprendre un déjeuner mais cela fit eclater de rire Rozaline qui tapota l'épaule du jeune homme. Comment pouvait-il dire que cela lui appartenait alors que c'était qu'un adolescent même pas avec des poils sur le menton? Ca doit surement appartenir à des Mafieux alors pas question de s'y rendre pour avoir des soucis.

"Trés marrante ta blague Shinji-kun! J'ai bien aimé!"

Finalement, elle retourna vers son pain puis le prit dans la paume de ses mains avant de faire une petite prière pour lui et l'enterra lentement dans le pot de fleur d'un fleuriste juste à côté. Cela fut rapide mais cela donnait vraiment une sale tête quand on voyait la moitié du pain dépassant de la terre à côté de la rose. Mais ce ne fut que de courtes durée avant que le propriétaire ne sorte en hurlant toutes les injures possibles ce qui amusa la jeune fille qui prit la main de sa nouvelle connaissance en hurlant:

"Cours!!!"

Nakamura lui donne des billets, plus qu'il n'en faut, mais se n'est pas un problème pour lui, alors que l'argent passe de main en main, elle fit une chose trés... qui porte une intérogation elle s'en sert de mouchoir, quelle chose étrange se dit il. La fille éclate de rire d'un seul coup, la aussi Nakamura ne comprend pas sur le coup, il a l'aire asse embarrasser de ne rien comprendre a se qui se passe sur le coup, main en e penchant plus sur son regard, il voie bien que c'est bien la limousine qui la fais rire, il se redressa puis elle pris son ptit'dej dans sa main pour l'enterre dans un pot ou se trouvait une rose, le pain été command dire "a peine voyant" puits le propriétaire sort une personne asse grosse avec un marcel blanc et un vieux short en jean, une sacré moustache qu'il avait la... elle lui prend la main puits lui crie de courir. Naka court allor il cour tout les deux asse vite le propriétaire ne les a pas suivi, normale la jeunesse a toujours vaincu... . Enfin, les mains sur ses genoux il reprend ses esprits et son souffle ses sur que sa ne lui arrive pas souvent de courir a cause de pain au lait. Enfin sa ne lui a pas déplu, puits une voiture arrive en trombe une voiture noire avec une personne portant une oreillette et des lunette noire, a coter de lui une autre personne plus softe et plus vielle avec des lunette asse simple puis une moustache grise. Cette personne leur dit monté vite, a son tour Naka prend la main de cette jeune fille, la voiture part... le plus vieux dit, pourquoi vous vous étez mis a courrire ? puis Naka lui repond qu'il ne veux pas le savoir, puis ils continuent a rouler. Le vieillard regarde la fille d'un aire bisard, puis Naka lui dit d'arrêter.

Ou veut tu aller ?.

Dit Naka

HRP// dsl du retard je me suis dépêcher :/ ///

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